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When I think of you | Roví
Anonymous
Invité
30.06.20 19:43
When I think of you
Mi avril
Les vêtements s’envolent, tandis que vos lèvres ne semblent pas vouloir se détacher. C’est une valse que vous connaissez par coeur, que vous avez l’habitude de pratiquer depuis le temps. En effet, ça va faire un an que tu traînes avec Leví, que tu couches régulièrement avec lui. Tu n’aurais jamais pensé que tu pourrais être aussi proche du serveur pour lequel tu avais un stupide crush. Tu ne peux pas dire que tu es amoureux, tu ne sais pas vraiment ce que c’est pour être honnête, mais tu apprécies le voir et profiter de soirées en sa compagnie. Votre relation est très bien comme ça, pas de prise de tête, vous vous faites plaisir, et ça vous suffit. Et ce soir ne fait pas exception, vous avez bu un peu, pour ne pas dire pas mal, et vous voilà dans sa chambre, prêt à atteindre le septième ciel sous peu.
Enfin, c’était censé se passer comme ça.

Tu soupires, le repoussant à l’aide de ton coude pour planter ton regard dans le sien. Tu es presque nu, lui aussi, mais tu sens qu’il n’a pas vraiment la tête à ça. Tu le connais suffisamment pour voir qu’il n’en a pas vraiment envie. C’est frustrant, parce que tu étais chaud, et aussi un poil vexant de voir que tu n’arrives pas à lui donner autant envie que toi. D’ordinaire tu n’as aucun mal à le faire bander, mais là rien y fait. « Non ci credo¹ » Tu lèves les yeux au plafond, le forçant à te lâcher pour que tu puisses t’asseoir sur le bord du lit. Tu récupères ton téléphone pour voir vite fait l’heure avant de te tourner vers lui. « Vas-y, qu’est-ce qui t’arrive ? T’es trop vieux pour tenir le rythme ? Ou alors j’te fais plus d’effet ? » Tu ne vois pas trop d’explications, à part peut-être la fatigue, mais dans ce cas-là, Leví aurait peut-être eu la décence de rester tranquillement dans son coin ou de proposer une soirée film peinard. Bon, pour ce genre de soirées, il aurait probablement fait ça avec ses colocataires plutôt qu’avec toi, et tu ne pourrais pas le lui en vouloir parce que tu aurais fait la même chose que lui. C’est rare que vous passiez du temps sans boire ou coucher ensemble. En même temps, c’est ça être amant, non ?

« Et fais pas genre que tout va bien, j’te sens complètement à côté de la plaque. » Tu n’es pas en colère, juste un peu vexé et frustré, ça te passera vite. Au pire, selon sa réponse, tu pourras toujours le planter là et aller voir ailleurs, tu n’as pas qu’un plan cul et heureusement ! Leví n’est pas le seul mec intéressant, même si tu te surprends à revenir assez régulièrement vers lui. Ça match bien avec lui, il répond à tes provocations, à tes petits jeux, tout en te poussant hors de ta zone de confort. Il te permet d’évoluer dans le bon sens et tu ne peux pas dire que tu regrettes d’avoir croisé sa route au bar où ton meilleur ami t’a entraîné alors que tu étais à peine majeur. Bien sûr, le plus âgé t’agace aussi assez régulièrement, surtout lorsqu’il est en mode Hera, là, il est insupportable. Faut dire qu’il s’en donne à coeur joie sous les traits de la belle demoiselle, ne te faisant aucun cadeau.

_______
¹ J’y crois pas
(c) DΛNDELION
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Levì Roslìndson
Levì Roslìndson
Pseudo (prénom) | Pronom : AM
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Avatar : Francisco Lachowski
A Reykjavik depuis : Depuis une dizaine d'années environ, il y a déménagé à ses dix-huit ans pour fuir sa famille
Âge du perso : vingt-sept année à son actif
Emploi/études : Il n'a pas d'études à son compte, mais il travaille depuis dix ans comme serveur dans un restaurant chic et depuis 6 ans comme drag-queen
13.07.20 17:57
Houston, we have a problem...
EXORDIUM.

Tout aurait dû être comme d’habitude. C’est toujours bien pas compliqué, on s’allume, on s’amuse et boom fini. Mais non. Ça l’air qu’aujourd’hui c’est la grève et ça me donne des envies de hurler. Je me doute du pourquoi du comment, mais je ne peux pas croire que c’est réellement ça qui cause cette panne-là. Parce que si c’est vraiment ça… autant dire que je suis dans la merde jusqu’au cou pour de nombreuses semaines voire même des mois… Dépendant du temps qu’il collerait chez moi. J’avais fui le domicile familiale pour plusieurs raisons, mais en autre pour être loin de cette famille à qui je devais beaucoup malgré tout. Je me disais que de me présenter pour Noël ferait l’affaire, mais je n’aurais jamais pensé qu’on vienne me demander asile. Comme si j’avais vraiment envie d’avoir Christian dans ma maison. Il est arrogant… prétentieux… Héra quoi. Mais ça passe mieux quand c’est moi que quand c’est lui. Je ne voulais pas qu’il se mette à faire la loi dans mon chez moi. J’ai travaillé suffisamment fort pour me sortir de cette maison au plus vite, que je ne voulais pas devoir me surveiller en tout temps à cause de lui… Et pourtant, même là, il réussissait à m’atteindre. Était-ce parce qu’il était dans la pièce d’à côté? Il me semble que je m’en suis toujours fichu de qui se trouvait à côté et du bruit qu’on pouvait faire. J’étais ici chez moi…

Bordel

Quand j’allais finalement me décider à me délier la langue et qu’il m’envoie en plein dans les dents que je suis trop vieux pour tenir le rythme, mon regard s’obscurcit un peu, prenant un air un peu blasé avec une envie fulgurante de l’envoyer à la porte à grands coups de pieds au cul. « Va te faire voir Romeo. » Comme si j’étais fier de ne pas arriver à le mettre au garde-à-vous. Voyons! Je sens mes mâchoires se serrer l’une contre l’autre, au point que mes dents me font un peu mal. Sans compter l’alcool dans mon sang, c’est vraiment la soirée la plus géniale d’entre toutes. Vraiment, merci la vie! Je ne peux m’empêcher de donner un coup de poing dans mon matelas une fois assis dessus dans un geste pour tenter d’expulser ma frustration et mon impuissance. Ça ne m’était jamais arrivé, mais en même temps, je n’avais jamais vraiment eu mon frère dans ma maison. Et même ça, j’aurais dû être capable de m’en foutre totalement! Depuis quand un truc pareil m’arrêtait? Moi qui se fiche de tout et royalement! Et le pire c’est qu’il vient de me couper l’herbe sous le pied à me dire que je ne pouvais pas vraiment me sauver cette fois. Parce que je le sens. Si j’ose me refermer encore une fois sur moi-même, ça va aussi bien vouloir dire que toutes ces petites galipettes ici et là se retrouveront bientôt dans les oubliettes.

Je ferme les yeux de découragement, glissant mes doigts dans mes cheveux pour essayer de trouver quelque chose à dire. Je ne me sens pas capable de le dire et pourtant, au fond de moi, je sais que je n’aurai pas le choix. Que ce foutu secret familial sorte ou que Romeo ne revienne plus jamais. J’ai pas beaucoup d’autres options. « En même temps c’est rien de grave, me casse pas les pieds avec ça. » Et le pire c’est que je ne suis pas fâché contre lui, simplement contre moi-même. Parce que c’est humiliant. Vraiment humiliant. Et en même temps, je me dis que si quelqu’un peu comprendre un peu plus ce que je vis, ça peut être lui, lui qui son père l’a abandonné… « Mon... cousin est devenu l’un des colocs ici depuis quelques semaines. » C’est un début, mais c’est pas la vérité vraie. Tout ce que j’espère c’est que ça passera assez pour ne pas subir l’interrogatoire complet. « Et comme il est chiant comme tout, s’il te voit ici, j’en ai pour des semaines à en entendre parler. Toi et ta face de bébé. » Parce que de l’attaquer me semble une meilleure sortie que de lui avouer la vérité, de lui avouer ce secret qui pèse sur moi depuis ma naissance. Parce que c’est lui avouer qu’on se ressemble beaucoup plus qu’il ne peut le croire et parce que raconter ma vie, n’est pas mon genre à la base…

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Anonymous
Invité
14.07.20 14:48
When I think of you
Mi avril
L’alcool et la frustration ne font pas bon mélange tout de suite. Tu aurais pu te moquer de ton amant pour ne pas avoir réussi à bander, mais ta première réaction fut de lui balancer dans les dents deux questions qui ne semblent pas lui plaire. Et pour cause ! Tu n’aurais pas aimé entendre ça si ça t’arrivait. Tu pousses donc un soupir lorsqu’il te dit d’aller te faire voir. C’est pas comme ça que la situation avancera entre vous, surtout si finalement ce n’est pas toi le problème. Tu l’espères vivement, ce serait assez vexant de découvrir qu’il doit se forcer pour bander en ta présence, mais connaissant Leví tu doutes qu’il aurait pris le temps de te contacter s’il n’avait aucune envie de coucher avec toi. Il n’en fait qu’à sa tête et ne perd pas de temps avec des trucs qui le saoulent. Cette pensée apaise bien vite ta frustration. « Ouais, ben, désolé, mais j’aimerais comprendre pourquoi soudainement ça veut pas. Mais bon s’tu veux rien dire... » Tu ne finis pas ta phrase, Leví est assez grand pour comprendre tout seul où tu veux en venir. En plus, ton amant semble finalement prêt à en dire un peu plus, plutôt qu’un simple “c’est rien, me casse pas les pieds”.

Tu l’écoutes, assis en tailleur sur le lit. Tu joues distraitement avec ton portable, essayant tant bien que mal de comprendre en quoi cette histoire de cousin devenu colocataire pourrait interférer dans vos histoires. Ce n’est pas son explication qui t’aide, parce que tu sais que Leví a déjà dû subir des commentaires de Runny ou Esra et qu’au fond c’est un je-m’en-foustiste qui vit sa vie sans s’occuper de l'opinion des autres. Alors pourquoi venant de son cousin ça changerait quoi que ce soit. Tu esquisses une légère grimace. Dois-tu vraiment te contenter de cette explication ? Tu es face à un amant, tu ferais mieux de prendre tes clics et tes clacs et partir d’ici pour en trouver un autre. Seulement tu n’as pas envie de rester sur cette fausse excuse, tu n’es pas dupe et ça te saoule. « Hm, depuis quand tu t’occupes de ce que les gens disent hein ? Ça fait un an qu’on couche ensemble, ou presque, j’ai pas la date en tête et je m’en branle, juste que je pige pas que tu n’arrives pas à bander à cause de ça ! » Tu lui laisses une chance de te dire la vérité, sans pour autant l’interroger vraiment. Tu sais que tu n’es qu’un amant et que ce n’est pas à toi de connaître ses problèmes. Au contraire, tu devrais te rendre compte qu’en partageant des morceaux de votre vie, vous commencez doucement à devenir plus que de simples amants, que vous allez finir par être des sexfriends. Est-ce que vous êtes prêts à franchir ce pas ? « Surtout que je t’imaginais pas être le genre à être gêné parce que ton cousin est, quoi ?, à côté ? Et c’est pas comme si tu devais me présenter à lui, s’il le faut j’me barre par la fenêtre. Bref, ça m’saoule. » Tu soupires à nouveau, passant une de tes mains sur ton visage. Bordel, dans quoi tu t’es lancé en abordant le sujet ?
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Levì Roslìndson
Levì Roslìndson
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18.08.20 4:09
Houston, we have a problem...
EXORDIUM.

Sa simple grimace vient m’arracher un soupir de frustration. Ce simple geste suffit à me faire comprendre qu’il n’avalera pas l’histoire facilement ce soir et que j’ai peu de choix qui s’offrent à moi. Parler ou le laisser partir. Et franchement, dans l’état où je suis présentement, l’envie de le faire fuir est presque plus attirante que l’idée de le garder avec moi. Après tout, c’était qu’un jeu de plus dans ma vie. Si c’était pas lui, s’en serait un autre, j’ai toujours fonctionné ainsi. Ma mère d’adoption n’approuverait jamais mon comportement, mais son mari lui, il comprendrait sans doute mes agissements hein. « Parce que ça ne te concerne peut-être pas tant que ça que je ne veux pas te le dire? Qu’est-ce que ça peut bien te faire que celui-là me dérange ou pas? Oui, ça te frustre parce que t’as pas ta partie de cul à soir, mais tu veux que j’y fasse quoi moi? Que je lui shoot un dose d’adrénaline? » Parce que la frustration me semble une meilleure option que de lui balancer la vérité, ç’a toujours été la fuite la plus facile pour moi. Faire fâcher les autres pour qu’ils partent. J’ai un peu un doctorat en la matière. « Je comprends juste même pas pourquoi tu veux savoir tout ça. Ça n'a jamais été ça nous. » Pour le "nous" que nous sommes...

Je me relève de mon lit, faisant quelques pas dans une direction et puis dans l’autre avant de me laisser retomber sur la chaise qui fait face à l’espèce de coiffeuse qu’il y a dans ma chambre pour les soirs où je me prépare de la maison. Je glisse la main sur mon visage en cherchant désespérément une façon de m’en sortir sans lui balancer le secret. Les seuls à connaître la vérité sont Runny, Esra et notre père. Personne d’autres ne l’est, pas même Christian. Et moins il y a de personnes au courant, moins il y a de chances que mon cousin apprenne par autrui qu’il est mon demi-frère en réalité. « Et je suis pas gêné… Juste sa présence me dérange. Déjà que j’étais obligé de vivre avec lui jeune, j’avais fui la maison pour avoir la paix et y’a fallu que mon frè… qu’il débarque ici. » Je soupire en me retournant un peu sur ma chaise pivotante pour donner un coup de poing contre le meuble. J’espère seulement que mon compagnon du soir n’est pas assez alerte pour remarquer ma bévue, parce moi, frustration et alcool ne font pas un bon mélange pour que je puisse retenir ma langue et jouer habilement dans mon secret. C’est presque à croire que je pourrais perdre la main, mais depuis l’arrivée de Christian à la colocation, sérieusement, j’ai du mal. Mes idées ne sont jamais totalement claires, sans doute parce que je consomme un peu trop de toutes ces mauvaises choses pour la santé, mais eh! Faut bien crever de quelque chose un jour non? « R’garde, au pire fait juste t’en aller et c’est tout. J’ai pas la tête à ça... » Je tente de me radoucir, mais si je doute fort que ce soit réussi. Me connaissant, je sais que j’ai mille fois plus d’habiletés à jeter l’huile sur le feu qu’à l’éteindre.

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Anonymous
Invité
21.08.20 21:19
When I think of you
Mi avril
La répartie de Leví te ferait presque rire, seulement tu ne trouves pas vraiment la situation amusante. Et puis, il dit “nous”, mais tu ne sais pas vraiment ce que ça représente. Vous êtes amants. Point. Il ne devrait pas y avoir de “nous” possible, non ? Pourtant vous passez bien trop de temps ensemble pour être que de simples amants qui couchent ensemble. Vous seriez presque des amis… Presque. Vous êtes plus proches d’être des potes de soirée en vrai, même si Leví sait pour ton père et les saloperies qu’il a faites. Tu ne pensais pas lui confier ça, mais monsieur est venu te voir après ta dispute avec Runný et tu as fini par lui dire ce que tu ressentais. Peut-être en avais-tu besoin ? Tu ne sais pas trop. Raaah, c’est compliqué ! Et puis à quoi ça sert de réfléchir sur ça ? Avec Leví l’intérêt c’est que justement tu te prends pas la tête et tu ne penses pas à toutes ses conneries avec lesquelles les adultes te bassinent. « Euh, peut-être pour comprendre si y a un problème avec moi ? » Tu soupires. C’est sorti tout seul. « Bref. »

Finalement la langue de ton amant se délie et te dévoile un peu ce qui se passe dans sa tête. Si ça ne t’aide pas à comprendre vraiment la situation, au moins ça te rassure, ce n’est pas toi le problème. Ok, tu n’arrives pas à lui faire oublier la présence de son cousin, mais le cerveau humain a tendance à s’entêter sur des idées et parfois y a rien à faire. Bien sûr, tu ne peux t’empêcher de le relancer, histoire d’en savoir un peu plus. Tu vois alors Leví se lever, faire les cent pas avant de s’asseoir face à sa coiffeuse. Tu as presque l’impression que c’est le moment pour lâcher l’affaire et partir, mais ton amant reprend la parole. Tu notes le moment où il se reprend, ne finissant pas son nom. Tu sens qu’il y a anguille sous roche, mais encore une fois tu te demandes si tu es vraiment en droit de le questionner à ce sujet. Ton statut d’amant est censé de te protéger, de te permettre de garder tes distances avec la vie personnelle de l’autre. Pourtant, tu es là, assis sur le lit, à fixer l’écran de ton téléphone. « Et fuck » Soupires-tu en te laissant retomber contre le lit. Tu fermes les yeux, te massant l’arête du nez. « La famille, c’est la merde quand même. » Tu te redresses, te levant, hésitant vraiment à te barrer. Tu n’as pas à rester, si Leví veut se confier, il le fera avec ses deux colocataires ou d’autres amis. Toi, tu n’es qu’un amant et y a pas de “nous” qui tienne. « Par contre, je comprends vraiment pas pourquoi, si sa présence te dérange, tu l’as accepté ici. J’pensais que tu t’étais forgé une carapace et que tu étais le genre à tout envoyer chier quand ça te plaisait pas. » Oui, c’est plus fort que toi, tu as du mal à voir ton amant qui s’embête avec tout ça alors que normalement il est si détaché. Il s’embête pas avec des trucs prises de tête, il envoie tout valser et il vit sa vie. Sauf là. « Enfin ça me regarde pas, et comme tu l’as si bien dit, j’ai qu’à m’en aller ! »
(c) DΛNDELION
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